Hélios
, royaume des dieux et des déesses nouveaux et anciens s’agitent
L’équilibre
est menacé, les forces primordiales luttent, ne prenant la fuite
Les
portails clos, en leurs forteresses condamnés, la mine déconfite
Ils
ne savent s’ils doivent guerroyer ou accomplir le secret rite.
La
rage les embrase, le feu du courroux les brûlent ils gagnent la cité
Et
le temple d’Erkk par les érudits aux anciens temps érigé
Des
ruines il ne reste que les pierres par le temps broyées, usées
Mais
sourd est le cœur par la noirceur habité, les sceaux furent tracés.
La
révolte des dieux s’annonce, les foudres divines frappent sans
trêve
Des
hommes les jours et les nuits, les pensées et les rêves
Norn
et le Manticore, oracles vénérés, viennent de par eux, les âmes
s’élèvent
Et
de la mer des origines, du premier royaume ils viennent de par la
grève.
Portails
et trilithes de magie tombés, en une arène reclus
L’ire
explose et des oracles s’en viennent les archanges déchus
Gardiens
de la cérémonie, maîtres des sceaux, renvoyant les dieux en
l’inconnu
Les
dieux alors libèrent leur furie et la terreur alors fut
Les
royaumes tremblaient, la Nature s’agitait des divines colères
Sombres
étaient ces temps, ils traçaient encore la croix élémentaire
Anges
et dieux dans le même élan les maîtres de la destinée encore ils
invoquèrent
Que
leurs destins soient dits sans délai et que règne la paix ou la
guerre.
Ainsi
la révolte des dieux par la venue des oracles connut sa fin
Et
nul alors ne vécut sans la crainte du courroux divin
La
prophétie était annoncée, longue était la route, ardu le chemin
L’avenir
était leur, et les cœurs apaisés prirent le repos des gens du
bien.
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